Découvrez le nouvel épisode du podcast Au Générique avec Florent Sabatier aka Flo Sab, réalisateur et chef opérateur des vidéos de Mcfly et Carlito ! Rendez-vous sur toutes les plateformes de streaming pour écouter l’interview.
De ses débuts dans la vidéo, en passant par son stage chez Greg Guillotin ou encore sa formation en école de commerce, il nous livre tout son parcours dans l’audiovisuel jusqu’au moment où il rencontre le duo Mcfly et Carlito.
Il nous raconte comment il réalise les vidéos pour leur chaîne Youtube à 7 millions d’abonnés où chaque vidéo qu’il fait comptabilise des millions de vues.
“Depuis que je suis avec eux, au début on faisait des vidéos de 15min, après il y a eu la première vidéo de plus de 30min, et puis celle de plus 45min, et puis un jour la première vidéo d’une heure”
Flo réalise en majorité les vidéos du célèbre duo de Youtube, des vidéos Youtube Warrior aux concours d’anecdotes avec Thomas Pesquet ou encore le Président de la République, en passant par La Traversée, il nous parle de la réalisation de ces vidéos. Il nous partage notamment les challenges rencontrés et l’aventure humaine que c’était pour lui lors du tournage de La Traversée dont le concept était de suivre les deux influenceurs traverser la Méditerranée à la rame pendant presque 3 jours.
“Je pense qu’il n’y a pas des caméras pour tout faire mais une caméra par situation”
Passionné par la technique, Flo nous partage aussi le matériel qu’il utilise pour ses vidéos et ses conseils pour débuter dedans. On parle aussi des problématiques de diffusion sur internet, ses premières expériences de tournage sur le terrain (Festival de Cannes, Tour de France, les caméras cachées de Greg Guillotin…) mais aussi de ses nombreux courts-métrages récompensés dans plusieurs festivals (Nikon Film Festival, My Rode Reel…).
Comment suivre un duo comme Mcfly et Carlito dans leurs aventures ? Comment gérer un tournage de plus de 60 heures sur la méditérannée ? Comment bien choisir son matériel ? Comment impacter avec des histoires à travers des vidéos Youtube ? Autant de questions auxquelles Florent a répondu sans détour !
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Et pour avoir un aperçu de l’épisode avec Flo Sab, on vous invite à regarder son interview vidéo juste ici ⬇️
Notre prochain invité dans le podcast Au Générique, est Guillaume Desjardins. Auteur, réalisateur et producteur, il nous parle de son métier, ce qu’il l’a amené à créer la série l’Effondrement et tous ses projets visant à soutenir et accompagner les acteurs de la création audiovisuelle (48HFP, Atelier 7, Démonopolisons la vidéo, RougeVertBleu, …).
On le connaît pour sa chaîne Youtube Rouge Vert Bleu (RVB), sur laquelle il parle d’audiovisuel et de cinéma, mais aussi pour le collectif Les Parasites qui a créé la série l’Effondrement sur Canal+. Auteur, réalisateur mais aussi producteur, Guillaume Desjardins est ce qu’on pourrait appeler un « touche à tout » car c’est avant tout un passionné d’audiovisuel.
Rendez-vous mercredi 29 juin pour écouter son épisode ! Abonnez-vous dès maintenant au podcast Au Générique pour ne pas rater la sortie de l’épisode.
« Je suis pas venu dans le cinéma pour ma cinéphilie mais plutôt pour mon amour de fabriquer des vidéos”
Passionné depuis toujours par l’audiovisuel, il crée son premier court-métrage à 11 ans, puis suit une formation en école de cinéma. Il nous raconte comment il se retrouve à créer un collectif avec ses camardes d’école connu sous le nom “Les Parasites” pour participer à plusieurs 48H Film Project Festival. Ils ont d’ailleurs gagné de nombreux prix du 48HFP dans plusieurs villes de France mais aussi aux États-Unis, notamment celui de la meilleure réalisation, du meilleur scénario, meilleur acteur…
“Et si les vidéastes avaient aussi leur site avec leurs vidéos, hébergées par eux mêmes ?”
Guillaume nous parle de son tremplin avec le 48HFP, de l’avantage d’apprendre sur le terrain dans ce type de projet là, mais aussi de l’importance d’écrire de bons scénarios peu importe le matériel en jeu.
On parle de Youtube et surtout de l’indépendance des plateformes notamment pour la création audiovisuelle, avec son projet “Démonopolisons la vidéo”. L’objectif : redonner du pouvoir aux créatrices et créateurs de vidéos à travers une plateforme de réflexion autour des alternatives d’autodiffusion pour s’émanciper des géants du streaming.
« On se rend compte qu’on a fourni beaucoup de travail gratuit, pour en plus enrichir des plateformes qui sont détenus par des géant d’internet et pour en plus être rémunéré 0€ derrière. »
La technique au service des histoires
Créer une série entière tournée en plan séquence ? C’est le challenge qu’il s’est donné avec son collectif, Les Parasites. Guillaume nous parle de « l’Effondrement » , une série dystopique diffusée sur Canal+, qui traite du déclin de notre civilisation et des effets et conséquences de notre système actuel. Il nous raconte toute l’histoire derrière la série, le tournage, les préparations, la gestion des équipes techniques…
Comment gérer le tournage d’une série en plan séquence ? Comment travailler avec les différents corps de métier ? Comment palier aux problématiques de diffusion et de dépendance aux plateformes ? Comment trouver le juste milieu entre réalisation et écriture ? Comment faire passer des messages forts et engagés dans les films ?
Autant de questions sur lesquelles Guillaume a discuté avec Jonathan dans le micro de Lightyshare !
Retrouvez toute l’interview de Guillaume Desjardins dans le prochain épisode d’Au Générique et abonnez-vous pour ne pas manquer la sortie de l’épisode !
La Torch Lady de Columbia Pictures est présente sur le grand écran depuis la création de la société en 1924, mais la véritable personne derrière le logo est restée inconnue jusqu’à ce que Michael Deas soit chargé de créer une nouvelle peinture dans les années 1990.
MGM a son lion rugissant, Universal Studios a son image de la planète Terre et Paramount a une montagne enneigée, mais aucun n’est plus emblématique que la « Torch Lady » de Columbia Pictures, dont la flamme illumine les cinéphiles depuis 1924. Dans les années 1990, Michael Deas est chargé d’illustrer le logo de Columbia Pictures, qui deviendra un des plus célèbres du cinéma américain.
La photographe qui a contribué à donner vie à cette dernière – et peut-être la plus grande – incarnation de la Torch Lady était Kathy Anderson. Le magazine DigitalRev l’avait rencontrée à l’occasion du 25e anniversaire du logo pour célébrer cette séance de photos désormais emblématique, on vous raconte tout !
Un projet artistique entre passionnés
En 1991, Kathy Anderson travaille en tant que photographe pour The Times-Picayune, un journal de la Nouvelle-Orléans. Très amie avec Michael Deas, peintre et illustrateur, elle accepte de l’aider à prendre quelques photos de référence pour une peinture qui « pourrait être utilisée comme nouveau logo » du légendaire studio de cinéma. Michael demande aussi à Kathy si sa collègue de travail accepterait de poser pour la séance, son nom est Jenny Joseph, et elle est graphiste pour The Times-Picayune. Cette dernière accepte de poser pour Kathy durant sa pause déjeuner, c’est son premier shooting.
L’appartement de Kathy à la Nouvelle-Orléans est rapidement transformé en studio photo de fortune en installant une grande toile de fond, une boîte à lumière Chimera et quelques flashs Dynalite dans le salon. Il y avait des draps, du tissu, un drapeau et une petite lampe avec une ampoule qui dépassait du sommet – qui ressemblait vaguement à une torche.
« Nous avons passé quelques heures à faire des prises de vue fun et créatives, en étudiant les tirages d’essai Polaroid de mon Hasselblad et en réarrangeant le drap de lit enroulé autour de Jenny. »
Dans les moments plus calmes entre les prises de vue, Jenny s’asseyait, épuisée. C’est alors que Kathy appuyait instinctivement sur l’obturateur et capturait une vue rare de la Dame aux flambeaux au repos. Michael a utilisé les photos de Jenny pour peindre son chef-d’œuvre pendant deux mois et le reste appartient à l’histoire.
Kathy, elle, va par la suite réaliser de nombreuses photos de référence pour Michael, notamment des couvertures de livres et des commandes de portraits.Quand à Jenny Joseph, elle n’a plus jamais posé depuis son premier shooting avec Kathy.
Le célèbre logo Columbia Pictures
Aujourd’hui, le tableau de Michael Deas représentant la Torch Lady fait partie de la dernière version du logo officiel de Columbia Pictures. Selon lui, la lumière représentée était destiné à évoquer un sentiment de beauté et d’intemporalité. Le logo original de Columbia Pictures a été créé en 1924. Le nom « Columbia » a été choisi en hommage à la première personnification féminine des États-Unis, qui défendait des idéaux tels que les Lumières et la liberté.
25 ans plus tard, Kathy est toujours aussi excitée et ravie de voir son amie Jenny à l’écran.« La première fois que j’ai vu la Torch Lady sur le grand écran, je suis restée sans voix. Je suppose que je n’ai jamais réalisé que des millions de personnes verraient un jour cette image. »
Cependant, même si le tableau n’est pas devenu célèbre, la séance photo aurait gardé une place nostalgique dans le cœur de Kathy, « peut-être parce qu’elle s’est déroulée dans mon salon, avec mon amie et avec ces croissants parfaits. Je garderai toujours un souvenir ému de cette journée ».
Kathy Anderson est une photographe basée à la Nouvelle-Orléans, spécialisée dans la photographie éditoriale, commerciale, documentaire, de mariage et de stock. En 2006, son reportage sur l’ouragan Katrina a été récompensé par le prix Pulitzer du service public. Découvrez tout son travail ici.
Avant son départ pour 36 semaines de tournage pour une production Disney+, nous avons échangé avec Mélissa Humler sur son métier de cascadeuse et comédienne au grand écran. Découvrez son parcours et sa carrière trépidante dans le prochain épisode du podcast Au Générique !
Mélissa Humler est cascadeuse professionnelle. Il y a quelques mois nous l’avions reçu dans notre podcast Au Générique, où elle nous parlait de son parcours, son métier, ses tournages sur de grosses productions (Marvel, Netflix, Amazon Prime…), son quotidien de cascadeuse mais aussi ses futurs projets dans le cinéma.
“La France est un pays où tu ne fais pas cascadeur si tu n’es pas passionné”
Depuis son enfance, Mélissa a toujours rêvé de devenir cascadeuse. Elle nous raconte comment après une école de cirque et une carrière en entreprise, elle se retrouve à 26 ans dans une des meilleures écoles de formation de cascadeurs au monde, le C.U.C (Campus Univers Cascade) pour ensuite débuter sa carrière de cascadeuse professionnelle sur des spectacles vivants à Londres avec Malik Diouf, co-fondateur des Yamakasi.
Aujourd’hui, Mélissa compte à son actif déjà plus d’une cinquantaine de films et séries tv français mais aussi étrangers. On peut citer entre autre : The French Dispatch de Wes Anderson, Comment je suis devenu super héros de Douglas Attal dans lequel elle double Leïla Bekthi, Sentinelle de Julien Leclercq, ainsi que plusieurs séries comme Treadstone diffusé sur Amazon Prime ou Germinal que l’on peut retrouver sur Salto.
Mélissa nous parle de son métier de cascadeuse et comment elle en est arrivée aujourd’hui à doubler les grands noms du cinéma français et étranger comme Camille Cottin, Virginie Efira, et aussi bientôt Michelle Pfeiffer ou encore Jennifer Aniston!
“Dans les esprits, une femme n’est pas faite pour se faire éclater la tronche sur une table”
De ses premiers spectacles à ses plus gros tournages sur Ant-Man et la Guêpe: Quantumania (Marvel Studios) ou encore Benedetta de Paul Verhoeven, elle nous emmène dans les coulisses du cinéma d’action.
Dans cet épisode, vous découvrirez les différentes spécialités des métiers de cascades, entre les doublures, les cascades équestres, mécaniques, physique etc…mais aussi l’importance du coordinateur de cascades et des prépas de tournage ou encore le face remplacement. Mélissa nous parle avec passion de son métier et de comment elle a su créer sa place dans ce métier peu commun !
Pour avoir un aperçu de son épisode, on vous invite à regarder son interview vidéo juste ici ⬇️
Comment on se prépare pour un tournage d’action ? Comment on gère la relation avec les comédiennes ? Comment trouver sa place à l’échelle internationale en tant que femme dans un univers assez masculin ?
Mélissa répond à toutes ces questions sans détour ni tabou dans le dernier épisode d’Au Générique !
L’épisode 3 est déjà disponible sur Spotify, Apple Podcasts, Google Podcasts, Deezer et toutes les plateformes de streaming !
Si le podcast vous plaît, surtout n’hésitez pas à vous abonner et nous laisser une note et un commentaire sur Apple Podcast ou Spotify, ça nous ferait énormément plaisir.
On vous souhaite une très bonne écoute ! 😉
Et rendez-vous le 21 juin pour le prochain épisode🎙
Pour le deuxième épisode du podcast, Au Générique, Jonathan a reçu à son micro Félix Guimard, réalisateur de comédies pour Studio Bagel, Montreux Comedy Festival, les programmes courts de Canal+et de nombreux humoristes.
« Je fais partie un peu de ce que j’appelle la génération 5D Mark II »
Dans le deuxième épisode du podcast Au Générique, Félix Guimard nous parle de son parcours, ses débuts dans la réalisation ainsi que ses nombreux projets passant du Studio Bagel aux formats court chez Canal+. Découvrez son travail !
Passionné depuis toujours par la photo et la vidéo, Felix a commencé en tant qu’assistant de post-production, puis monteur pour le Montreux Comedy Festival avant de réaliser les making-off du Studio Bagel, et de rencontrer la production de Canal+ pour qui il réalise des programmes courts comme What The Fuck France de Paul Taylor.
« Il y a eu une grosse démocratisation de la possibilité de faire des belles images avec peu de moyens il y a une dizaine d’années ».
Félix nous parle de ses premiers making-off avec l’arrivée du 5D Mark II qui a aussi permis à de nombreux passionnés d’audiovisuel comme lui de se lancer dans la réalisation. Après des années à réaliser les vidéos coulisses du Montreux Comedy Festival (Speed Meeting) et les vidéos du Studio Bagel, il est aujourd’hui réalisateur sur de nombreux projets pour la publicité, le web et la télévision avec notamment des formats courts pour Canal+ avec Roman Frayssinet (Migraine), Hakim Jemili, Fadily Camara (HF), ou encore Anaïde Rozam (Clothilde Fait un Film).
« Quand tu fais un format court, il ne faut pas oublier la personne que tu mets en avant. Tu fais un format court pour une personne, tu ne fais pas un format court parce que t’es réal et que t’aimes faire des transitions »
Félix nous parle de son rapport à son métier, de l’importance de développer une relation de confiance avec les comédiens et les humoristes mais aussi avec les équipes techniques avec qui il travaille. Pour lui la règle d’or pour un réalisateur de comédie c’est « il faut écouter les gens qui sont marrants et savoir déceler pourquoi ces gens sont marrants ça c’est important« .
« Plus tu travailles sur des trucs, plus tu crées ton réseau et plus tu crées ton réseau plus les gens vont t’appeler »
Comment faire de sa passion un métier, comment réaliser des vidéos de comédies, comment gérer les équipes techniques sur les tournages, comment développer son réseau professionnel, comment vendre de nouveaux formats aux productions ou encore comment construire une relation de confiance avec ses comédiens ?
Autant de questions et sujets auxquels Félix prend le temps de répondre et d’échanger au micro de Jonathan dans le deuxième épisode d’Au Générique. À écouter dès mardi 1er juin sur votre plateforme d’écoute préférée !